Les albums DPF colorés sont chroniqués. Cliquer dessus pour lire ma chronique et aussi d’autres avis de fans exprimés sur la page facebook. Cette discographie est aussi abordée dans le livre ”Deep Purple 50 ans La Maison des Légendes 1968-2018”. Ces écrits sont effectués pour les dates anniversaires et uniquement sur mon temps libre. Tout coup de main est bienvenu. L’idée est de partager une passion. … Pour soutenir le site, merci de commander vos achats via les liens Amazon ou de faire un don ICI
David Coverdale – né le 22 septembre 1951 GB – chanteur – Whitesnake.com – une des plus belle voix de blues hard rock de l’histoire et un des plus beaux duo vocal de l’histoire avec Glenn Hughes !
Il y a des artistes qui ont ce truc qu’eux seuls peuvent porter. Cette magie unique, l’alignement des étoiles. Il n’y a que David Coverdale et son sex-appeal pour chanter ce type de paroles sexistes sans passer pour ridicule, ou vulgaire avec son jeu de micro, …tout comme il ne peut exister qu’un Elvis qui peut balancer son déhanché, qu’un David Lee Roth qui peut interpréter Jump, un Jon Bon Jovi, Bed Of Roses, un Lemmy … Mais en sus de posséder déjà UN talent, ce côté crooner pornographe, DC en a deux ! (vous me direz que les couilles et les seins, ça marche par paire, pour rester dans la thématique érotique) En effet, personne ne peut chanter le blues comme il le fait, avec cette expression si hurlante dans la déchirure (Mistreated, Sail Away, No Love In heart of The City, Blindman, Don’t Leave Me This Way, etc …) ou dans la suavité de la douceur (Soldier Of Fortune, Blindman,We Wish You Well, …) … En même temps, ça pourrait être logique quand on sait que l’amour et la douleur/douceur sont parfois indissociable … comme un couple … (d’autres avis ci-dessous)
Olivier Garnier : ” Depuis que j’ai découvert sa voix sur le “Last Concert in Japan” de Deep Purple, je considère #DavidCoverdale comme mon “chanteur préféré”… Après tout c’est vrai, de nos jours, il y a un tas d’autres mecs qui sonnent comme lui (enfin c’est ce que l’on tente parfois, un peu trop souvent même, de nous faire croire), mais justement il ne suffit pas de “sonner comme” ni même d’avoir le même type de grain pour l’égaler (et encore moins de changer de groupe tous les 15 jours).. car au-delà de la tessiture il y a l’interprétation, le placement de la voix, l’attitude face aux mots et la façon de décider de les porter jusqu’à nos oreilles… ses intonations, ses respirations, ses gimmicks sont uniques et ça les imitateurs, même armés de vocoder auto tune ou de l’IA, ne peuvent remplacer son feeling… les sessions d’enregistrement avec feu Martin “Big Ears” Birch devaient être passionnantes… et, en l’occurrence, pour ce remix US, Keith Olsen (qui lui aussi nous a quitté) a dû prendre son pied pour mettre encore plus en valeur l’organe de DC…”
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