David COVERDALE Discographie & Chroniques

Les albums DPF colorés sont chroniqués. Cliquer dessus pour lire ma chronique et aussi d’autres avis de fans exprimés sur la page facebook. Cette discographie est aussi abordée dans le livre ”Deep Purple 50 ans La Maison des Légendes 1968-2018”. Ces écrits sont effectués pour les dates anniversaires et uniquement sur mon temps libre. Tout coup de main est bienvenu. L’idée est de partager une passion. … Pour soutenir le site, merci de commander vos achats via les liens Amazon ou de faire un don ICI

David Coverdale – né le 22 septembre 1951 GB – chanteur – Whitesnake.com – une des plus belle voix de blues hard rock de l’histoire et un des plus beaux duo vocal de l’histoire avec Glenn Hughes ! 

Il y a des artistes qui ont ce truc qu’eux seuls peuvent porter. Cette magie unique, l’alignement des étoiles. Il n’y a que David Coverdale et son sex-appeal pour chanter ce type de paroles sexistes sans passer pour ridicule, ou vulgaire avec son jeu de micro, …tout comme il ne peut exister qu’un Elvis qui peut balancer son déhanché, qu’un David Lee Roth qui peut interpréter Jump, un Jon Bon Jovi, Bed Of Roses, un Lemmy … Mais en sus de posséder déjà UN talent, ce côté crooner pornographe, DC en a deux ! (vous me direz que les couilles et les seins, ça marche par paire, pour rester dans la thématique érotique) En effet, personne ne peut chanter le blues comme il le fait, avec cette expression si hurlante dans la déchirure (Mistreated, Sail Away, No Love In heart of The City, Blindman, Don’t Leave Me This Way, etc …) ou dans la suavité de la douceur (Soldier Of Fortune, Blindman, We Wish You Well, …) … En même temps, ça pourrait être logique quand on sait que l’amour et la douleur/douceur sont parfois indissociable … comme un couple … (d’autres avis ci-dessous)

 

Deep Purple (cliquez pour lire les chroniques)

Burn (1974)

Stormbringer (1974)

Come Taste the Band (1975)

** Live **

California Jam (1974)

La Dernière Séance – Paris (1975)

 

Collaborations

The Butterfly Ball and the Grasshopper’s Feast – Roger Glover (1974)

Windows – Jon Lord (1974)

The Last Note of Freedom” – chanson interprétée pour le film Days Of Thunder (Jour De Tonnerre) avec Tom Cruise (1990)

Coverdale – Page (avec Jimmy Page) (1993)

 

Solo

1977 White Snake

1978 Northwinds

1997 Restless Heart

2000 Into the Light

 

Whitesnake

Snakebite (1978 – EP)

Trouble (1978)

Lovehunter (1979)

Ready an’ Willing (1980)

Come an’ Get It (1981)

Saints & Sinners (1982)

Slide It In (1984) + 35th

Whitesnake (1987)

Slip of the Tongue (1989) + 30th

Good to Be Bad (2008)

Forevermore (2011)

The Purple Album (2015)

Flesh & Blood (2019)

** Live & Reports **

Live At The Hammersmith (1978)

Live In The Heart Of The City (1980)

Live at Castle Donington (1983) vhs

Super Rock ’84 in Japan (1984) vhs

Live in ’84: Back to the Bone (2014) DVD

Live At Donington 1990 (2011)

Live In Russia (1994) (non officiel)

Starkers In Tokyo (1998) acoustique

Live In The Still Of The Night (2006 – DVD)

Live In The Shadows Of The City (2006)

Report Toulouse (2006)

Live Made In Japan (2013)

Live Made In Britain (2013)

The Purple Tour (2017)

Unzipped (2018) acoustique inclus Starkers

 

Avis de fans

Olivier Garnier  : ” Depuis que j’ai découvert sa voix sur le “Last Concert in Japan” de Deep Purple, je considère #DavidCoverdale comme mon “chanteur préféré”… Après tout c’est vrai, de nos jours, il y a un tas d’autres mecs qui sonnent comme lui (enfin c’est ce que l’on tente parfois, un peu trop souvent même, de nous faire croire), mais justement il ne suffit pas de “sonner comme” ni même d’avoir le même type de grain pour l’égaler (et encore moins de changer de groupe tous les 15 jours).. car au-delà de la tessiture il y a l’interprétation, le placement de la voix, l’attitude face aux mots et la façon de décider de les porter jusqu’à nos oreilles… ses intonations, ses respirations, ses gimmicks sont uniques et ça les imitateurs, même armés de vocoder auto tune ou de l’IA, ne peuvent remplacer son feeling… les sessions d’enregistrement avec feu Martin “Big Ears” Birch devaient être passionnantes… et, en l’occurrence, pour ce remix US, Keith Olsen (qui lui aussi nous a quitté) a dû prendre son pied pour mettre encore plus en valeur l’organe de DC…”

 

 

 

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