WHITESNAKE The Purple Tour

  Je vais couper court ! Ceux qui sont ennuyés pour aller voir un grand oncle ou un grand père de 65 ans qui n’a plus la vigueur de sa jeunesse, sont priés de partir consulter les albums photos et de ne pas nous ennuyer, merci. Et oui ce live a du être retouché en studio. D’ailleurs ça n’arrange pas que COVERDALE, mais aussi ses choristes, pourtant beaucoup plus jeunes, qui laissent échapper une ou deux faussetés sur les passages HUGHESien à l’écoute des live pirates qui circulent sur le net. Ceux qui sont encore heureux d’apprécier ce qu’une personne de son âge a à nous offrir sur un catalogue aussi exigeant, apprécieront probablement cet hommage live à ses années Pourpres. Car ici il est surtout question de cela. Inutile de persifler des heures sur une voix usée qui sonne de plus en plus comme un LEMMY. Moi non plus je ne nage plus le 50m papillon comme un gardon, c’est la vie, il faut l’accepter ou retourner écouter les lives d’antan. Je serais donc ravi d’entendre à nouveau ce répertoire que seul Glenn HUGHES défend encore sur scène des 4 musiciens encore en vie […]

WHITESNAKE The Purple Album

En ce 15 mai 2015, le SERPENT BLANC a envie de se replonger à l’époque où il avait une peau de bébé, une peau plus rose. En effet, en 2010, Jon Lord a des envies de réunir tous les membres de DP. Sait-il qu’il est malade pour désirer ce genre de choses comme s’il voulait célébrer sa carrière et partir en ayant essayer de rabibocher tout le monde ? Après quelques sondages internes, il se rend compte que son souhait est utopique. Il se rabat alors sur l’idée d’une reformation de la Mk III, même si Paice tourne avec la Mk VIII. A ce moment-là, Gillan n’est pas au mieux depuis plusieurs mois et on pense que c’est bientôt la fin de DP sous cette version. La situation et l’envie de revanche de Hughes en fait un partant certain. Coverdale n’est pas fermé à l’idée bien qu’enlacé par son serpent. Reste donc le plus compliqué en apparence à convaincre : Maitre Ritchie sur sa tour perchée. Or, Lord est resté plutôt en bon terme avec le ténébreux guitariste avec qui il entretient des rapports respectueux réciproques. Des rumeurs se font donc de plus en plus […]

WHITESNAKE Good To Be Bad

”Good To Be Born” ! C’est ”bon de naître” un 21 avril 2008, aurait pu aussi titré WHITESNAKE en sortant son Good To Be Bad (c’est Bon D’Etre Méchant”), après une longue période d’absence : 19 ans après le vrai dernier album Slip On The Tongue ou 11 ans si on considère Retless Heart comme un album du groupe, ce qui n’est pas mon cas. David COVERDALE, pensant que plus personne ne voulait de son serpent, se surprend à constater du contraire en tournée. Cela l’amènera à produire onze ans après Retless Heart, ce dixième album, soutenu par une nouvelle équipe, à l’exception du batteur Tommy ALDRIGE, déjà présent en 1987. Certains lui préfèrent son successeur Forevemore, c’est loin d’être mon cas. Riffs, groove, mélodies sont bien présents entre l’esprit de Slide It In (US) et LED ZEPPELIN. L’album aura été bien accueilli dans les Charts mondiaux. Les réfractaires pourraient l’expliquer par l’effet ”reformation”. Mais encore des années après, je reste toujours séduit par les Best Years, groovy et quelque peu mélancolique, Can You Hear The Wind Blow, If You Want Me, Le titre éponyme, All For Love, Got What Your Need, A Fool In […]

WHITESNAKE Live In The Shadow of The Blues

Après une décennie 90 compliquée pour Coverdale, celui-ci relance son Whitesnake en 2002. Pensant que le groupe n’intéressait plus personne, c’est avec étonnement qu’il voit que la tournée qu’il organise pour fêter les 25 ans de l’album 1987, être un succès. Aussi, avec cette nouvelle formation, il rallongera les dates jusqu’à arriver en 2006 ( et plus …) où il publiera ce CD de concerts de 2006, dont l’autre grande surprise sera le dépoussiérage des cartons de la MARK III du duo de tubes BURN & STORMBRINGER en ouverture des shows. Ce CD qui fait suite au DVD Live In The Still Of The Night paru la même année mais enregistré en 2004, sent la grosse production et un retour en forme de l’ex-voix du Pourpre, avec notamment un nouveau duo de gachettes Beach (WINGER) – Aldrich (DIO) qui reprend davantage l’héritage des Sykes, Vandenberg et Vai plutôt que celui des Moody, Mardsen, Galley … Pour ma part, j’aurai la chance de voir à 2 reprises cette production : une fois en 2002 à San Sebastien et en 2006 à Toulouse (lire les reports en cliquant sur les liens) CD 1 Bad Boys (Coverdale, Sykes) […]

WHITESNAKE Toulouse 21 juin 2006

Souvenir en 2006 où WHITESNAKE nous faisait l’immense surprise de rajouter un peu à la dernière minute (comme le rappelle la pub dans @Rock Hard France) une date à Toulouse, seule date en France, qui a vu un Havana Café quasi complet et ravi de voir là et d’aussi près, ce géant habitué à des villes plus denses ou plus rock, et déjà trop rare à Paris ! Super souvenir pour moi qui ne les aura vu que 2 fois ! …  En première partie, les palois de MANIGANCE, qui certes un peu agacé par des soucis de sono, ont su montrer tout leur puissance mélodique ! Chouette affiche donc ! Sur la page Facebook, ils en ont dit entre autres : ”J’étais à ce superbe concert de Toulouse, et j’ai eu la chance de m’entretenir avec Doug et Tommy. La voix de Coverdale était plutôt bonne.” Alain Rabiat – oui ! sa voix était encore intacte ! … sa gestuelle aussi, même si elle était plus sobre que 2 ans plutot à Anoeta ! ? ( Franck AF LMDL) ” Excellent souvenir ! ” Ludovik Valak Fabre ” Le son était un peu dégueulasse, […]

WHITESNAKE Bruxelles 14/10/1997

Report par Olivier Garnier ( Attaché de presse / Consultant) Quelques jours après les deux concerts de Londres, retour quasi obligatoire, en Ancienne Belgique, sur une date de la tournée “Restless Heart“… Quand je revoie la setlist “de base” de cette tournée, je tombe par terre et vous ? … + d’un soir à l’autre, de nombreuses interventions a cappella, “à la demande”. 1) Walking in the Shadow of the Blues 2) Give Me All Your Love 3) You’re So Fine 4) Don’t Fade Away 4) Love Ain’t No Stranger 5) Too Many Tears 6) Mistreated (intro Hit And Run) 7) Ready an’ Willing 8) Lovehunter 9) Slow an’ Easy 10) Is This Love 11) Restless Heart 11)Mistreated 12) Don’t Break My Heart Again 13) Fool for Your Loving 14) Here I Go Again 15) Ain’t No Love in the Heart of the City 16) Still of the Night   Vos avis sur Facebook ”You’re so Fine et Sweet Talker devraient figurer à tour de rôle dans ses set-list ! de vrais boogies indispensables qui secouent la couenne ! merci pour ce(s) souvenirs” Franck AndFurious + report UK par Olivier Garnier 8 octobre 1997, Whitesnake/David […]

David COVERDALE’s WHITESNAKE Restless Heart

L’un des meilleurs albums du SNAKE bluesy ! Un album dans la veine de Janis JOPLIN, il est pour moi l’album le plus roots de COVERDALE. Un COVERDALE qui retrouve sa voix de crooner et de blues rockeur, sans aucun plagiat vers Robert PLANT. En somme, retour au COVERDALE qu’on aime et du grand COVERDALE. 4 ans après le succès de COVERDALE-PAGE, mais après le clash de la tournée promotionnelle, le chanteur reforme son SERPENT BLANC pour une mini-tournée qui verra la sortie en bootleg, puis officiellement du Live In Russia 1994. Pendant cette période apocalyptique liée au Grunge, pragmatique, il constate que la scène classique des années 80 n’intéresse plus la nouvelle génération de fans. Aussi, il met en hibernation le serpent. Mais sachant qu’il peut compter sur une fan base fidèle qui espère un retour aux sources du blues, il reviendra proposer un album solo, ce Restless Heart écrit avec son acolyte du moment, un Adrien VANDENBERG revanchard. Malgré ce ”nouveau” concept musical et l’influence du boss, à l’instar du BLACK SABBATH Seventh Star, la maison de disque impose à la dernière minute que l’album sorte sous la jaquette WHITESNAKE et non du […]

COVERDALE & PAGE

Ce 15 mars 1993 (16 ou 27 selon les continents), sortira ce très bon album ”contre-nature” ! ”Contre-nature” ? oui et non ! Jimmy PAGE qui n’arrive plus à créer quelque chose de bon depuis la dissolution du DIRIGEABLE, et ce malgré une tentative mitigée, voire décevante avec Paul RODGERS (FREE, BAD COMPAGNY, QUEEN) et qui n’arrive plus à convaincre Robert PLANT de collaborer à nouveau, se voit proposer (ou demande ?) par le grand manitou de GEFFEN, John KALODNER, de composer avec David COVERDALE. Ce dernier, grand fan de LED ZEPPELIN, réalise son rêve de travailler avec un de ses idoles et ne l’oublions pas, un des plus grands guitaristes des 70’s. Si COVERDALE est un artiste au sens premier du terme, le côté business est loin de lui échapper. En 1993, le Grunge fait des ravages dans l’industrie du disque et WHITESNAKE en pâtit comme beaucoup de gloires de MTV. Alors, apposer la marque PAGE à sa carte de visite, après celle de BLACKMORE, ne se refuse doublement pas. L’album qui sonne … devinez … à la fois comme LED ZEPPELIN et WHITESNAKE, tient bien la route, comme le panneau routier en guise […]

WHITESNAKE Monsters Of Rock France 1990

Suite au succès foudroyant de l’album 1987 et en promotion de son successeur, Slip Of The Tongue, la bande à David COVERDALE faisait la tête d’affiche des Monsters Of Rock pour les 10 ans du festival ”inauguré” en 1980 avec RAINBOW ! La légende dit que ce festival serait né d’une discussion avec Ritchie BLACKMORE !?  En effet, le fondateur du festival n’était autre que le tourneur de RAINBOW au Royaume-Uni. Si ce festival s’est par la suite internationalisé, la France n’aura connue que trois éditions : en 1988, 1990 et 1991 ! Aujourd’hui les festivals en plein air (soumis aux caprices de la météo), et le succès du Hellfest, pourraient passer pour chose acquise ! C’est oublié à quel point il est difficile de pérenniser un tel évènement (un des sujets de mon prochain livre) et de se rappeler que les Monsters Of Rock, n’existent plus alors que c’était une (la) référence à l’époque et un beau fantasme pour tout une génération de fans qui rêvaient d’y aller. Alors, si vous pouvez lire des commentaires sur le Live At Donington (ici) , n’hésitez pas à nous faire partager vos souvenirs de ce festival à […]

JOURS DE TONNERRE (Days Of Thunder) BO David COVERDALE

A l’époque, il était très rare d’entendre du Hard Fm en France, ailleurs que chez son disquaire. Alors évidemment, quand un film US bien commercial vous balançait ça à travers les baffles de la salle de cinéma, vous faisiez des bonds partout sur ce fauteuil pourtant bien confortable. Vous n’aviez qu’une envie : que le projectionniste vous repasse en boucle cette BO pour profiter de la sono (de tonnerre) de la salle. D’autant que, quand vous habitiez dans une ville-campagne en Proviiiince, vous étiez quasiment sûr de ne pas voir le disque dans les bacs sauf miracle, le même type de miracle qu’a vécu le personnage du film dans sa voiture pendant la course. Il était aussi rare de voir inviter des artistes de Hard-Rock pour des BO. Heureusement, Sylvester STALLONE avait ouvert la voie avec ses ROCKY, dont le succès des hits lançait la règle tacite de la présence quasi obligatoire d’un titre AOR pour un film d’action US. Même les James BOND s’y sont mis quelques années plus tard : même si c’était avec des DURAN DURAN et des AHA, classés rock pop, cela restait du sacré bon rock fm. Il était encore […]